Questions féquentes
Afin d’obtenir un résultat optimal, la prothèse(Choix de la taille) qui sera utilisée chez une patiente doit être sélectionnée selon son volume, son profil (largeur), sa hauteur et sa forme. Le choix de la prothèse finale est fait en fonction de nombreuses caractéristiques de la patiente : grandeur, largeur d’épaules, largeur du thorax, largeur du sein, le sein préexistant, la taille et la largeur des hanches. La pluspart des patientes se présentent et demandent simplement un volume de prothèse similaire à celui obtenu par des amies (par exemple 350cc). À moins de pouvoir comparer deux patientes tout à fait identiques, il est tout à fait possible que deux patientes très similaires obtiennent des résultats significativement différents.
Texture et contenu
Les prothèses salines ont été popularisées comme produit de remplacement lors du moratoire temporaire sur les prothèses à base de silicone entre 1992 et 2007. Leur désavantage majeur réside dans leur texture qui reste caoutchouteuse et leur palpabilité, surtout dans les zones où les tissus sont les plus minces (rebord latéral et rebord inférieur du sein) et sont appelées “vagues” (rippling en anglais). La texture des prothèses en silicone est celle qui se rapproche le plus de celle d’un sein. Il ne peut y avoir de vagues perceptibles. Cependant, chez les patientes ultra-minces, une certaine palpabilité du contour de la prothèse pourrait toujours être possible. Dr LeBlanc vous donnera tout le loisir d’examiner et palper des prothèses.
Longueur des incisions
La longueur de l’incision généralement utilisée pour la mise en place d’une prothèse saline varie entre 3.5–4.0cm chez la majorité des chirurgiens lorsqu’elle est positionnée au niveau du repli inframammaire puisque la prothèse est insérée vide et gonflée une fois située dans la bonne localisation. La majorité des chirurgiens utilisent une longueur d’incision variant de 5.0 à 8.0cm pour l’insertion d’une prothèse à base de gel cohésif, puisque cette dernière est déjà gonflée. Dr LeBlanc utilise un appareil qui lui permet d’utiliser des incisions d’environ 3.5cm. Il pourra vous montrer des exemples.
Perte de volume et rupture
Une prothèse saline perdra 1% de volume par année par évaporation de la solution. Si une rupture de la membrane survient ou si la valve d’entrée subit une dysfonction, cette dernière se videra. Cela équivaut à une crevaison. Les anciennes prothèses à base de silicone se vidaient de leur contenu lors d’une rupture. Les prothèses en gel cohésif de silicone modernes ont une texture ressemblant à celle des “gummybear”. Lors d’une rupture, son contenu ne peut donc pas se “déverser”. Les taux de ruptures sont très similaires entre les deux types de prothèses. La différence réside surtout dans la présence du dégonflement de la prothèse saline qui incitera la patiente à se faire réopérer rapidement afin d’éviter de vivre avec deux seins asymétriques.
Coque fibreuse
Une prothèse mammaire est considérée comme un corps étranger et stimulera la production de cicatrice de manière naturelle et normale autour de cette dernière et qui est appelée “capsule”. Cette dernière n’occasionnera pas de problèmes dans une grande majorité de cas. Dans des cas plus rares, la capsule peut se mettre à se contracter jusqu’à causer une déformation de la prothèse, du sein, de la douleur et un durcissement important/sévère. La capsule change de nom et est appelée “coque fibreuse”. Elle se retrouve dans environ 3% des cas où une prothèse saline est utilisée et 5% des cas ou les prothèses à gel cohésif sont utilisées. Elle se déclarait jusqu’à 40% des cas où les vieilles prothèses avec silicone liquide étaient utilisées. Les deux produits présentent donc des caractéristiques semblables. Les chiffres utilisés par les différents intervenants varient selon les sources, mais les ordres de grandeur sont conservés.
Sécurité et innocuités des prothèses
Les deux types de prothèses sont de bien meilleure qualité que les vieilles prothèses utilisant les silicones liquides. Une prothèse saline se rupturant entrainera la réabsorption de la solution saline par l’organisme. De nombreux mythes ont été véhiculés sur les vieilles prothèses à base de silicone, ainsi que des prothèses à gel cohésif. La FDA a démontré à l’aide d’études ou des dizaines de milliers de patientes ont été enrôlées que les prothèses à gel cohésif (tout comme les vieilles prothèses de silicone) n’augmentent pas le risque de faire un cancer du sein ou de grandes maladies systémiques/auto-immunes (Lupus, Arthrite rhumatoïde, etc, …). La combinaison de l’utilisation de produits de qualité supérieure et la plus grande sévérité de la FDA et Santé Canada en ce qui a trait à homologation de ces derniers font des prothèses à gel cohésif les produits les plus sécuritaires de l’histoire.
Les patientes demandent très fréquemment si elles auront à faire remplacer leurs prothèses tous les 10ans. La réponse est simple: La vie des prothèses n’est pas comme un changement d’huile… Elle ne doit pas être systématiquement remplacée tous les dix ans. Si une patiente est satisfaite du résultat de sa chirurgie après 15, 20, 25 ans, il n’y a pas la nécessité de changer obligatoirement ses prothèses. Un chirurgien indiquant à ses patientes qu’elles doivent ABSOLUMENT changer leurs prothèses (sans autre raison médicale ou esthétique) après 10, 7 et même 5 ans vise probablement malheureusement à réduire le contenu de leur portefeuille. Un chirurgien ne pourra cependant jamais assurer à une patiente qu’elle sera porteuse de ses prothèses pour la vie.
Describe the item or answer the question so that site visitors who are interested get more information. You can emphasize this text with bullets, italics or bold, and add links.La plupart des patientes qui connaissent des amies qui ayant été opérées pour une addition mammaire se font relater une histoire typique : “Tu vas voir, tu auras la pire douleur de ta vie pendant 2, 3, 4 semaines ! Tu ne pourras utiliser tes bras pendant un mois ! “. La douleur post-opératoire peut surtout être associée à la manière dont l’espace est créé pour la mise en place de la prothèse en position rétromusculaire. La plupart des chirurgiens utilisent leurs doigts afin de créer cet espace, ce qui entraine des déchirures musculaires douloureuses et des saignements importants. Un œdème plus important en résulte et ainsi donc une douleur encore plus importante. Dr LeBlanc fait partie d’une minorité de chirurgiens qui utilisent un électrocautère (“crayon électrique”) afin de délicatement créer cet espace. Si un petit vaisseau se mettait à saigner, il serait immédiatement stoppé.
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